Nous Quatre + 1 : rencontre avec Simon Fransquet

Certains réalisateurs n’utilisent aucune musique additionnelle dans leurs films. Seulement (à la rigueur) certaines ambiances captées en direct. Mais ils sont rares.

En général, la bande originale d’un film est un de ses éléments déterminants, influençant l’état du spectateur comme peut le faire une interprétation réussie, un cadrage adéquat, un montage efficace.

 

C’est aussi le cas dans Nous Quatre où, de l’avis général, la musique est un élément-clé de la réussite globale. Pas étonnant que les CD’s se soient vendus comme des petits pains lors de la délirante avant-première liégeoise organisée le 8 septembre 2015. La bande-son de ce premier long métrage est signée par un jeune compositeur : Simon Fransquet, particulièrement présent cette année auprès des jeunes réalisateurs belges. Rencontre avec ce jeune homme plutôt timide, musicien averti et compositeur inventif dont on devrait entendre parler beaucoup ces prochaines années.

 

 

La collaboration avec Stéphane Hénocque

 

 

Composer au-delà des musiques références du montage

Quand un réalisateur confie son montage au compositeur il a souvent accolé les images à des musiques préexistantes qu’il juge sinon idéales, au moins pertinentes pour e’impact du film. Une gageure pour le musicien qui va devoir passer au-delà de ces indications pour développer ses propres compositions

 

 

Une bande-originale qui marque les esprits

 

 

Un compositeur éclectique

 

 

Rêves de cinéma

 

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